En France, le Pôle Emploi, autrefois appelé l’association ASSEDIC, paye des indemnités pour les chômeurs durant le temps où ils sont en quête de travail. Ces indemnités servent notamment à combler les dépenses de tous les jours donc si le sujet a des dettes mensuelles à rembourser, le rachat de crédit lui est possible dans des circonstances bien spécifiques. Cette manoeuvre lui donnera la possibilité de réduire les dettes mensuelles qui devront être remboursées par un co-emprunteur, généralement le conjoint ou un parent.
Hormis l’association CRESUS qui est présente dans de nombreuses régions de France, d’autres entités présentent les mêmes aspirations d’aider des ménages ayant des difficultés économiques. En France, on peut citer par exemple : SOS Surendettement qui appuie au niveau des différentes démarches à faire, Association Aide et Assistance Personnalisées, l’association CAPE (Conseil et Assistance aux Particuliers Endettés)… Malgré que les organisations ne soient pas forcément à proximité, beaucoup de sites web et des forums peuvent également assister les surendettés à surmonter leur difficulté.
Les allocations telles que le RMI ou le RSA sont offertes aux personnes qui sont sans emploi ou dont le revenu n’arrive pas jusqu’à le standard établi par le décret appliqué. Pour les organismes financiers qui se chargent du rachat de crédit, les personnes qui jouissent de ces allocations ne peuvent le demander que si elles ont un co-emprunteur. Effectivement, ces allocations ne peuvent pas être considérées comme un salaire qui va aider à régler des arriérés.
Même si les recours sont donc nombreux, il convient aux familles en difficulté financière de chercher la meilleure solution pour ne pas empirer les circonstances. En effet, le fait de prendre d’autres crédits pour rembourser les autres dettes peut être risquée en fin de compte car les mensualités et la durée totale des remboursements va accroître.
La première solution quand on n’arrive pas à payer les mensualités à temps est de négocier le délai auprès des bailleurs ou de rééchelonner l’emprunt. Viennent après d’autres actions concevables comme demander un plan de regroupement dans le cas de crédits multiples ou la saisine du Tribunal d’Instance pour obtenir de nouveaux délais.